La prise de risque en communication

Communication
  • La prise de risque en communication est remise en question par la peur omniprésente dans notre société actuelle.
  • Le manque de communication et la pression des délais peuvent entraver la créativité lors d'une campagne de communication.
  • Pour réussir à prendre des risques en communication, il est essentiel de convaincre en interne et de garder un esprit ouvert et émerveillé pour réenchanter le risque.

Doit-on se plier un certain conformisme pour pouvoir monter une campagne de communication efficace? La prise de risque est-elle vraiment possible l’heure où les clients ne peuvent cacher leur méfiance face une proposition trop innovante ? Petit tour d’horizon de l’état actuel des choses…

Une atmosphère peut propice l’inspiration

De manière générale, la société actuelle fait peser sur nos épaules une sensation de crainte empêchant la prise de risque. La mise en garde dans les médias est permanente : évènements dramatiques, faits divers violents, crise, attentats terroristes, un sentiment de peur omniprésent a fini par s’installer et véhicule une perspective d’avenir plutôt morose .

En communication, cet élan de pessimisme s’observe directement sur le travail des créatifs et sur la relation client. Difficile en effet de se montrer force de proposition lorsque l’on se voit imposer une liste interminable de contraintes ou lorsque toutes les idées créatives se retrouvent bloquées dès le pôle commercial qui préfère s’en tenir deux ou trois axes classiques pour augmenter ses chances de succès. Bien souvent l’incompréhension s’installe et les frustrations personnelles peuvent vite prendre le dessus.

  • Il y a une vraie prise de risque au niveau de la blanquette
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Ceci peut en partie s’expliquer par un problème de communication interne. La plupart du temps, et c’est d’autant plus vrai mesure que les effectifs augmentent, les équipes se retrouvent cloisonnées, divisées en plusieurs pôles de travail et ne communiquent que très superficiellement entre elles (les créa d’un côté, les commerciaux de l’autre sans parler du pôle performance ou encore du pôle web-digital). D’autant plus que naturellement, les échanges se font de manière quasi-exclusive avec les personnes physiquement proches mais pas avec celles localisées l’autre bout de l’open-space ou dans le couloir d’en face. Autre facteur important, le timing: la gestion de l’urgence face des deadlines bien souvent extrêmement courtes obligent monter un projet en urgence ce qui peut vite devenir une source importante de stress et causer des dérèglements dans son élaboration. Lorsque l’on cherche proposer une idée neuve susceptible de heurter le conformisme d’autrui (qui vous répondra que « ce n’est pas ce qui est fait d’habitude »), il est donc important de combler la zone d’insécurité de son interlocuteur afin que ladite proposition n’apparaisse pas comme une prise de risque trop importante.

Commencer la conquête en interne

Les premières personnes convaincre (hormis vous-même ! ), ce ne sont pas les clients mais bien ceux qui présenteront le projet ou qui vous aideront le réaliser. Il est donc essentiel de décloisonner les pôles et de brainstormer plusieurs, que l’on soit graphiste, concepteur-rédacteur ou chargé de projet. Votre idée aura en effet bien plus de chances d’être acceptée si les personnes que vous cherchez convaincre sont directement impliquées au moment de la sélection des axes. Il est également essentiel qu’une idée audacieuse soit défendue par un argumentaire solide et une forte conviction pour la rendre crédible.

Réenchanter le risque

Cela paraît difficile et pourtant la neurasthénie actuelle n’est pas une fatalité. Prenez le temps de vous émerveiller ! Il est important de regarder les choses tout autour de vous, de s’interroger au quotidien, de découvrir ou de redécouvrir des lieux, des odeurs pour conserver une certaine fraîcheur. Même si beaucoup d’agences prônent des valeurs créatives sans jamais aller au bout de leur démarche par peur d’un manque de stratégie, certaines d’entre elles et plus particulièrement les start-ups tentent de réenchanter ce risque et oseront plus facilement proposer des concepts innovants et des idées nouvelles.

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    JEU DE PRISE DE RISQUE : Dans Mada, vous incarnez un lémur qui tente de récolter le plus de figues possible. Pour cela, vous devez jouer des cartes de plus en plus fortes. Vous pouvez bénéficier de l’aide de cartes spéciales qui vous permettent de surprendre vos adversaires. Mais prenez garde : si une carte avec une grande valeur vous rapporte plus de points, elle vous rapproche aussi de la défaite ! Gérez votre main avec soin, prenez des risques mesurés et devenez ainsi le roi des lémuriens. MECANISME DU JEU : Chaque joueur a 3 cartes en main. A chaque tour, 3 actions sont possibles : – Poser une carte de votre main, – Piocher une carte et la mettre dans votre main, – Prendre un risque, en posant une carte de la pioche à l’aveugle Les cartes doivent toujours être posées dans un ordre croissant et vous ne pouvez pas avoir plus de 3 cartes en main. CONTENU DU JEU : 60 cartes cactus numérotées de 1 à 13, 10 cartes spéciales lémuriens et scorpions, 1 règle du jeu. NOMBRE DE JOUEURS : Pour 2 à 5 joueurs à partir de 7 ans pour des parties d’environ 20 minutes. UN JEU DE SOPHIE WAGNER : Sophia Wagner a commencé à créer des jeux pendant ses études de géoscience. Et elle continue depuis à inventer des jeux. Elle a décidé de poursuivre ses rêves et est devenue autrice à plein temps. Mada est son septième jeu édité ! Sophia aime aussi bien créer de fortes expériences avec très peu de règles, que d’inventer des mécaniques complexes qui défieront votre cerveau !
  • Adolescence et prise de risques

FAQ

Quels sont les exemples de prise de risque ?

La prise de risque peut prendre différentes formes selon les situations. Par exemple, se lancer dans un nouveau projet professionnel sans garantie de succès est une prise de risque.

De même, investir une somme importante d'argent dans une entreprise en démarrage ou voyager seul dans un pays inconnu peuvent également être considérés comme des prises de risques. Dans tous les cas, ces décisions comportent une part d'incertitude et nécessitent du courage pour affronter l'inconnu.

Qu'est-ce qu'une prise de risque ?

Une prise de risque est une action qui consiste à s'engager dans une situation incertaine ou dangereuse en espérant obtenir un bénéfice ou un résultat positif. Elle implique souvent de sortir de sa zone de confort et d'affronter des dangers potentiels. Les prises de risque peuvent être calculées, c'est-à-dire évaluées et pesées avant d'être réalisées, ou impulsives, c'est-à-dire sans réflexion préalable.

Elles peuvent avoir des conséquences positives mais également négatives sur notre vie.

Quel est le risque lié à la mode ?

Le risque lié à la mode est de succomber à une pression sociale qui pousse à constamment suivre les tendances et à dépenser des sommes importantes pour rester "à la mode". Cela peut entraîner des problèmes financiers, ainsi qu'une obsession pour l'apparence au détriment de l'estime de soi et du développement personnel. De plus, la forte consommation induite par la mode a un impact négatif sur l'environnement en favorisant le gaspillage et la pollution.

Il est donc important de prendre du recul et d'adopter un mode de consommation raisonné afin de ne pas tomber dans les pièges de la mode.

Julia Chevalier
Journaliste sur Hyzy